La lecture pour se distraire durant un voyage ferroviaire a toujours constitué une panacée… Ainsi est née la littérature de gare.
« La littérature de gare, et plus particulièrement le roman de gare pour le roman, est un genre littéraire se caractérisant par des ouvrages se lisant facilement et rapidement, distrayants mais superficiels, qui tirent leur nom du fait qu’ils sont réputés être achetés dans les gares pour s’occuper en attendant son train ou pendant le voyage. Ce sont généralement des livres peu chers et de petit format, traitant d’histoires policières ou d’espionnage, ou d’histoires d’amour. Ainsi, ce sont souvent les genres paralittéraires qui sont désignés de cette façon ». (WIKIPEDIA).
Partant de deux constats :
1. Les chemins de fer ont évolués : quand il fallait près de 9 heures pour rallier Paris à Marseille avant l’irruption du TGV, il n’en faut plus désormais que 3 pour rallier la capitale à la cité phocéenne.
2. Un grand nombre de personnes « lambda » disposent d’un smartphone avec un large écran. (« personnes lambda » pour qualifier des personnes qui ne sont pas de grands lecteurs.
On se doit d’adapter la lecture à ces nouveaux paramètres.
Il convient donc de proposer au voyageur lecteur des œuvres courtes, distrayantes proposant une heure maximum de lecture.
De la même façon que des plateformes musicales du type Deezer ou Spotify sont proposées dans le cadre de forfaits téléphoniques, une telle offre pourrait être proposée aux grandes majors de la téléphonie (Free, SFR, Orange …) par Amazon KDP ou KOBO.
Amazon KDP ou KOBO pourrait proposer une offre spécifique composée d’une sélection d’œuvres courtes, spécifiquement formatées pour être lues sur un téléphone avec l’application dédiée.
Cette approche pourrait ensuite conduire un certain nombre de lecteurs vers l’utilisation d’une véritable liseuse et donc d’une consommation littéraire plus large…
C’est pour ce format court que les aventures de Couic le charcutier ont été pensées.