Les jardins du Vatican

Pie11 dans les jardins du Vatican

Chapitre 9 – Un singe dans la crypte

C’est la mobilisation générale pour retrouver le singe qui se cache dans les jardins du Vatican.
Toutes les troupes du colonel Fanfan sont sur le pied de guerre, épaulées par les bonnes-sœurs, les séminaristes, les curés, les abbés, les chanoines, les moines et même les monsigores présents dans les murs. Sister Periwinkle et le père Troufignol participent eux aussi aux recherches.
Tous les fourrés sont explorés, les enfants de chœur sont priés de grimper dans les arbres, de secouer les branches, mais force est de constater que le facétieux animal demeure introuvable.
Le puits a été obstrué, mais qui sait s’il n’y a pas d’autres passages de la sorte qui communiquent avec le reste de la ville ?


Couic est inquiet, il s’est lui aussi beaucoup démené avec Fricandeau. Il souffle et se repose un moment, assis sur la margelle en compagnie du Colonel.


– C’est quand même incroyable, où a bien pu disparaître ce sacré bon sang de singe ?


Le colonel soupire,


– Mes hommes ont ratissé tout le parc, rien, nada, peau de balle  !


– Vos soldats sont pourtant de fameux lascars mon colonel.


– Tu peux le dire Couic, tous de braves gars de nos montagnes qui quittent un à un le pays pour s’en aller gagner leur vie loin de la terre où ils sont nés… Depuis longtemps ils en rêvaient du Vatican et de ses secrets du célibat et des curés…


– C’est beau ce que vous dites là colonel, on pourrait presque en faire une chanson…

Coup de farce au Vatican eBook by

C4P17

File:Mondial de l'Automobile 2010, Paris - France (5058429433).jpg
Cette image a été originellement postée sur Flickr par Mic V. à l’adresse https://www.flickr.com/photos/33756577@N08/5058429433. Elle a été passée en revue le 4 mars 2015 par le robot FlickreviewR, qui a confirmé qu’elle se trouvait sous licence cc-by-2.0.

Réseau Trouitter… chapitre 1:

…À ce moment l’éminent professeur Pointu est interrompu par une pétarade de moteurs et une agitation dans le camp.
– Foutrebite ! s’exclame l’entomologiste distingué, que signifie ce barouf ?
Mais Couic saute de joie et se rue dans la cour, suivi de Fricandeau qui aboie frénétiquement en Mandarin tout en remuant la queue.
– Je crois bien que c’est pour nous messieurs ! Allons voir !
Un étrange véhicule piloté par Li Li Pût en personne stoppe devant le baraquement du chef du camp.
– Oh ! par exemple mais ques acquó ? S’interroge le professeur Pointu en se grattant l’occiput.
– Aow ! Very interesting s’extasie à son tour Sir Samuel Chap tout juste remis des émotions de la répétition de l’opéra populaire.
– Formidable ! s’enthousiasme Couic en tapant dans le dos de Zhi-Fu.
Ce dernier, incrédule, contemple l’étrange véhicule qui vient de stopper. Celui-ci ressemble à une voiture sur laquelle on aurait greffé un char d’assaut. Des roues à l’avant et des chenilles à l’arrière.
Le commissaire de deuxième classe Li Li Pût enlève ses lunettes de soudeur et le casque en cuir qui lui donne un air d’aviateur et se tourne triomphant vers les trois savants et les deux jeunes gens :
– Alors camarades, qu’est-ce que vous en dites ?
Couic explique à ses compagnons :
– Épatant ! C’est tout à fait le véhicule dont nous avions besoin, une autochenille C4 P17 ! »

Cette image a un attribut alt vide ; le nom du fichier est image-3-642x1024.png

Non ! Le prince Albert n’est pas Jack l’éventreur !

Description de cette image, également commentée ci-après

WIKIPEDIA indique :

Albert Victor Christian Édouard de Galles (en anglais, Albert Victor of Wales), prince du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande devenu duc de Clarence et Avondale, est né le 8 janvier 1864 à Windsor, dans le Berkshire et décédé …

toujours selon WIKIPEDIA, le : 14 janvier 1892 à Sandringham House,

et bien pas si sûr …

De plus WIKIPEDIA nous fournit les informations suivantes :

« Dans les années 1960 et 1970, on prétendit que le prince Albert Victor aurait été, soit l’auteur, soit le commanditaire, des meurtres de Jack l’Éventreur en 18881. On prétendit de plus que le prince avait eu une liaison avec une des victimes, Martha Tabran, et qu’il était le père d’un enfant vivant dans le quartier de Whitechapel à Londres, et que le prince lui-même, ou bien divers hauts responsables, avaient commandité les meurtres afin de couvrir ses frasques. Ces rumeurs, largement propagées, ont alimenté diverses œuvres de fiction, mais les historiens2 ont apporté des preuves indiscutables de l’innocence du prince. Par exemple, le 30 septembre 1888, date des meurtres d’Elisabeth Stride et de Catherine Eddowes, le prince était à Balmoral (la résidence royale en Écosse) en présence de la reine Victoria, et d’autres membres de la famille royale, de princes de l’Empire allemand en visite et de nombreux membres de l’intendance. Des journalistes l’y ont également vu. D’après la liste des engagements royaux, il ne pouvait être à proximité d’aucun des lieux où ont eu lieu ces meurtres ».

Désormais de nouveaux éléments fournis par Couic le charcutier nous permettent d’affirmer que le prince Albert n’est pas, et n’a jamais été, Jack L’éventreur !

La vérité est bien plus terrible et dure à entendre…

Pour tout savoir sur cette histoire , il faudra vous fader la lecture de « Réseau Trouitter », la 7ème tranche des singulières aventures de Couic le charcutier (disponible sur les plateformes KOBO, KDP, Apple).

Inutile !

Inutile eBook by Marc Jamois

On a beau disposer d’un sujet historique de premier ordre, lorsque les personnages de votre ouvrage et vos lecteurs se liguent contre vous, la tâche de l’écrivain s’avère pour le moins ardue.

La situation dérape quand l’issue réside dans l’élimination physique du plus célèbre des journalistes littéraires, de surcroit directeur d’une académie prestigieuse.

Peut-on alors s’étonner si les catastrophes s’enchainent ?

La troisième guerre mondiale menace, un président de la République échappe de peu à un attentat agricole. Les sorciers du Berry mènent le sabbat infernal, tandis qu’une péniche en folie affole les éclusiers du Rhône.

On se doute où tout ceci finira…

Tout au long de ce récit insensé, c’est en fin de compte le processus de l’écriture qui émerge en image subliminale.

https://www.kobo.com/fr/fr/ebook/inutile-1

Jim aura t-il la peau de Marc ?

Je suis en train de terminer mon deuxième roman sous le nom de Marc Jamois. Il se présente comme une suite de Trece Timpul ou plutôt comme une conséquence de celui-ci.

Il se passe beaucoup de choses étranges et dérangeantes dans ce livre, et il se pourrait bien que cela soit le dernier écrit sous mon véritable nom.

Trece timpul raconte l’histoire d’un type qui essaie toute sa vie d’écrire un bouquin. Et on le voit naitre et progresser ce fichu bouquin Et pourtant c’est tout le contexte dans lequel il est écrit qui constitue le véritable sujet du rlivre; Une sorte de roadmovie autobiographique (l’expression m’a été fournie par un lecteur), qui débouche sur une mise en abyme du livre dans le livre.

Je pensais pouvoir présenter Inutile, c’est le titre du livre, au concours Kobo/Prélude  « Les talents de demain » mais je ne suis pas tout à fait prêt. C’est pourquoi ,compte tenu du nombre de commentaires élogieux et qui m’ont surpris moi-même que j’ai reçu sur le site monBestseller.com, je vais donc proposer Trece Timpul pour ce concours.

Inutile paraitra plus tard…


Vive le pinard !

Chapitre 1 – Ça papillonne au Vatican !

… Fier inventeur de la pomme de terre
On a donné ton nom à des esquarr’s
Mais dis-nous donc, alors, que faut-il faire
Pour honorer l’inventeur du pinard ?
Madame Tutu épluche ses pommes de terre en chantonnant « Vive le pinard », chanson célèbre, créée par Charles-Joseph Pasquier, dit Bach, au 140ème de ligne pendant la guerre de Quatorze.
De l’étage, depuis son laboratoire, le professeur Tutu, entomologiste distingué, entonne le refrain :
Un ! deux !
Le pinard c’est de la vinasse
Ça réchauff’ là oùsque ça passe,
Vas-y, Bidasse, remplis mon quart
Viv’ le pinard, viv’ le pinard !

Décidément, l’atmosphère est bien guillerette dans la villa Zinzina les Flots Bleus, la vaste demeure du Professeur Tutu et de son épouse, née Roselyne Gladiateur, qui perche sur les hauteurs de Ladignac Sur Rondelle…
Mais voici qu’on sonne à la porte.